Revirement sur le dossier Opel, échecs des cessio de Saab et Saturn, mésentente avec le nouveau président Edward Whitacre : cela aura suffi à pousser Fritz Hendeen, dire

Revirement sur le dossier Opel, échecs des cessions de Saab et Saturn, mésentente avec le nouveau président Edward Whitacre : cela aura suffi à pousser Fritz Hendersen, directeur général de General Motors depuis mars 2009, vers la sortie.
Moins d’une semaine après son éviction, un remplaçant était déjà trouvé : pas de recrutement latéral, mais de la promotion interne. Le nom de Carlos Ghosn, actuellement à la tête de Renault-Nissan, avait été avancé par les médias américains : en 2006, un rapprochement entre GM et Renault avait été à l’étude.
Finalement, le chairman du groupe -désigné par le Trésor américain pour gérer le constructeur en restructuration- a opté pour la promotion. Bob Lutz, qui devait partir à la retraite, est nommé directeur du développement des nouveaux produits. Mark Reuss devient président de GM Amérique du nord et Nick Reilly (qui s’est occupé du dossier Opel), président pour l’Europe.
En France, Yves Pasquier-Desvignes (précédemment directeur des ventes chez Opel) succède à Sandro Malatto à la présidence de GM France.