Massivement soutenu par ses LPs historiques, Axa Private Equity mise sur une activité soutenue du secondaire dans les prochaines années.
Axa Private Equity lève 8 milliards de dollars
Tous les GPs ne sont pas égaux face aux questions de levées de fonds. Évolutions réglementaires incitant certains LPs à réduire leur allocation au private equity, perte de confiance à l’égard des équipes de gestion dont les performances se sont avérées décevantes dans les dernières années, autant de facteurs qui expliquent pourquoi la quête de capitaux se transforme parfois en chemin de croix. Certaines grandes marques, néanmoins, parviennent encore à tirer leur épingle du jeu. Axa Private Equity est de celles-là.
La filiale du groupe d’assurance dédiée au capital-investissement a finalisé une levée de 7,1 milliards de dollars pour sa cinquième génération de fonds de fonds secondaire. En conséquence de Bâle 3, qui pousse les banques à céder une part significative de leurs portefeuilles en non-coté, et de la baisse relative des prix, Axa PE anticipe une activité soutenue sur le segment secondaire dans les deux années qui viennent.
Parallèlement, Axa Private Equity annonce le closing final de son fonds de fonds primaire à 900 millions de dollars. Le groupe bénéficie du soutien de ses investisseurs historiques, répartis entre l’Amérique du Nord, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie. Le retrait progressif des institutionnels européens est compensé par la montée en puissance des investisseurs venus de ces deux dernières régions.
La filiale du groupe d’assurance dédiée au capital-investissement a finalisé une levée de 7,1 milliards de dollars pour sa cinquième génération de fonds de fonds secondaire. En conséquence de Bâle 3, qui pousse les banques à céder une part significative de leurs portefeuilles en non-coté, et de la baisse relative des prix, Axa PE anticipe une activité soutenue sur le segment secondaire dans les deux années qui viennent.
Parallèlement, Axa Private Equity annonce le closing final de son fonds de fonds primaire à 900 millions de dollars. Le groupe bénéficie du soutien de ses investisseurs historiques, répartis entre l’Amérique du Nord, l’Europe, le Moyen-Orient et l’Asie. Le retrait progressif des institutionnels européens est compensé par la montée en puissance des investisseurs venus de ces deux dernières régions.